El nombre de la rosa

Hardcover, 471 páginas

Idioma Spanish

Publicado el 10 de julio de 1992 por RBA Editores.

ISBN:
978-84-473-0000-6
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(3 reseñas)

Valiéndose de las características propias de la novela gótica, la crónica medieval y la novela policíaca, El nombre de la rosa narra las actividades detectivescas de Guillermo de Baskerville para esclarecer los crímenes cometidos en una abadía benedictina en el año 1327. Le ayudará en su labor el novicio Adso, un hombre joven que se enfrenta por primera vez a las realidades de la vida, más allá de las puertas de su convento. En esta primera y brillante incursión en el mundo de la narrativa, que Umberto Eco llevó a cabo hace ahora treinta años, el lector disfrutará de una trama apasionante y de una admirable reconstrucción de una época especialmente conflictiva de la historia de Occidente.

56 ediciones

Whoever the intended audience is, it isn't me.

"It is no accident that the book starts out as a mystery (and continues to deceive the ingenuous reader until the end, so the ingenuous reader may not even realise that this is a mystery in which very little is discovered and the detective is defeated). I believe people like thrillers not because there are corpses or because there is a final celebratory triumph of order (intellectual, social, legal, and moral) over the disorder of evil. The fact is that the crime novel represents a kind of conjecture, pure and simple. But medical diagnosis, scientific research, metaphysical inquiry are also examples of conjecture. After all, the fundamental question of philosophy (like that of psychoanalysis) is the same as the question of the detective novel: who is guilty?" [page 564]

I don't disagree entirely with this take on the novel by its own author, but I find it troublesome that he …

De quoi ce livre est-il le nom ?

Je discutais de ce livre l'autre jour avec Y. mon libraire préféré, et il me disait comment il tenait à éviter ces best-sellers mondiaux, ou plutôt à en retarder la fréquentation. Je n'ai pu m'empêcher de mentionner Les misérables, et il y a des similitudes entre ces deux romans, au delà des différences formelles évidentes. Eco ne peut s'empêcher de faire disserter ses personnages, alors que Hugo se garde pour lui-même ces splendides digressions sur l'argot ou l'architecture parisienne. Dans les deux cas, on connaît déjà l'histoire, ou on croit la connaître, et le cinéma nous y aide un peu.

Il n'empêche qu'un jour, le livre se met entre vos mains et exige d'être lu. Alors les cavaliers de l'Apocalypse démarrent leur terrifiante cavalcade, les flammes de l'orgueil dévorent la librairie pendant qu'un moine s'en va, emportant avec lui le visage d'une femme dont il n'aura pas connu le …